hum pourquoi on les aime... On pourrai parler de leur regard, de leur démarche... C'est tout un ensemble, la "bête" en elle même.
C'est peut etre aussi le fait que c'est un animal emprunt de liberté et pourtant vivant en clans parfaitement solidaires, et meme les solitaires ont leurs charmes. Un animal capable de tuer sans état d'ame, d'etre le plus dure possible (je ne dit pas cruel car il sont bien loin de l'homme avouons le ce n'est meme pas comparable ) et capable de la plus grande douceur.
Enfin je me tairais sinon je suis bien lancé. Sinon je pense que tu connais le poême d'Alfred de Vigny, La mort du Loup.
Et toi qui voulait voir des loups je pense que ca peu t'interresser si tu ne l'a pas deja comme tout passioné : http://ptiloup.typepad.com/
Tiens d'ailleurs je pense que cette chanson dit bcp : (si elle derange je l'enleverai)
Une belle chanson de Henri Tachan sur des paroles de François Brutsch
Le grand méchant loup
Le loup depuis toujours a eu le mauvais rôle,
Sous son grand manteau noir il ricane, le drôle,
C’est le vilain Apache, le sanguinair’e Sioux,
C’est l’esquinteur d’enfants, c’est le grand méchant loup
Pauvres hommes, pauvres pommes, pauvres Américains,
Combien de visages pâles et combien d’Indiens ?
Les trois petits cochons, tout au fond de leur planque,
Entassaient leurs millions, y avait pas encor’e d’banque,
Lorsque surgit, vengeur, le drapeau noir en main,
Notre Arsène Lupus, notre Arsène Loupin
Pauvres hommes, pauvres pommes, pauvres marchands de grains,
Combien d’Oncle Picsou et combien de Mandrin ?
L’agnelet dodu buvait dans l’onde pure,
Cachant dessous sa laine une tendre nourriture,
Le loup en salivant lui dit « Mon pauvre agneau,
Même Jean de la Fontaine raffolait du gigot »
Pauvres hommes, pauvres pommes, pauvres suceurs de sang,
Combien de cannibales, combien de non-violents ?
Le Petit Chaperon rouge, déjà fieffée salope,
Avec son p’tit pot d’beurre et sa petite culotte,
A dit à l’animal « Tu viens chez moi, mon loup ? »,
A une pareille invite qui refuse, qui de vous ?
Pauvres hommes, pauvres pommes, pauvre triste tapin,
Combien reste-t-il d’anges et combien de putains ?
Le loup sur son chemin de jeûne et de misère,
Explique à un beau chien, bien luisant, bien prospère,
A la vue de la chaîne accrochée à son cou,
« A toi la vie de chien, à moi la mort du loup »
Pauvres hommes, pauvres pommes, pauvres caniches nains,
Combien y a-t-il d’esclaves et combien de mutins ?
Ne mêlez plus le loup à vos sales histoires,
Vos contes, vos dictons, c’est de la merde à boire,
Et si la faim, elle fait sortir le loup du bois,
Vos guerres vous font sortir de partout à la fois
Pauvres mecs, pauv’ blancs-becs, pauvres tristes filous,
Combien reste-t-il d’hommes, dites-moi, et de loups ?
Ven 14 Juil - 17:14
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